dimanche 11 juillet 2010

Pause gâteau




Quand rien ne va, rien de mieux qu’une part de gâteau pour se remonter le moral. Quand tout va, rien de mieux qu’une part de gâteau pour fêter ça. Non loin de mon bureau se trouve un endroit de perdition, auquel j’ai déjà fait allusion, le Café-Konditorei Schneller (pour les Munichois : Amalienstraße 59), où je vais appliquer ces principes.

Il ne paye pas de mine, sa terrasse est petite et la décoration très sobre. C’est néanmoins un appel à la consommation effrénée de gâteaux. Le choix est assez grand, mais la spécialité de la maison semble être la gâteau au fromage (blanc), le Käsekuchen, dont voici une des nombreuses variantes, au pavot, ma préférée. On commande son gâteau au comptoir, on le prend et on s’empare d’une place. Comme toujours ici, la boisson est commandée à table. Et l’on paye à la caisse, si on le veut bien, car la confiance règne.

Ceux qui craindraient – à tort – la lourdeur de ces pâtisseries, pourraient se rabattre, surprenant paradoxe, sur les plus monumentales d’entre elles, comme ce gâteau aux myrtilles et au yogourt (plus exactement au Rahmyoghurt). Ce palais imposant est frais, léger, aérien. Rien de tel pour fêter l’été.

1 commentaire:

  1. Je sais que je suis complètement hors de l'actualité, qui est babalistique. Pour me rattraper, comme Paul le Poulpe, je pronostique la victoire de l'Espagne au championnat que vous savez ce soir, qui me semble plus logique, bien qu'au fond je verrais plutôt le monde en orange.

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