lundi 22 août 2011

Optique, critique, politique

Mon opticien favori de la Schellinstraße a composé deux nouvelles vitrines. La première se moque d'une habitude munichoise (et allemande), la grillade, le barbeuque au bord de l'Isar, dans un parc, n'importe où en plein air. On croit que les Allemands sont disciplinés, mais les lieux est souvent bien sales après coup.
L'autre vitrine fait écho à l'actualité. Ca sent un peu trop l'installation. Au fait, je n'ai pas besoin de lunettes

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