Tous les magasins s’y mettent, dans une surenchère qui fait parfois sourire. Voici une boulangerie tant dans les couleurs que dans la masse de petits cœurs,
Nous ne sommes pourtant pas dans un endroit très touristique : c’est une situation normale. Voici une librairie papèterie, dans un endroit bien plus reculé encore.
Il en est ainsi chez les bouchers, les fleuristes, les restaurants, les agences de voyage, les opticiens, les coiffeurs (comme ici),
les pharmaciens, et j’en passe. La fête a envahi la ville.
Si l’on s’approche du lieu, du Theresienwiese, le nez est progressivement attiré par l’odeur du caramel, de la cannelle et des amandes caramélisées, le parfum de la fête foraine qui vous emmène en enfance.
Le soir, à deux ou trois kilomètres de là, on entend au loin des flonflons, des éclats, des notes cuivrées, des chants fondus-enchaînés, on s’arrête, et on écoute la rumeur de la fête qui bat son plein. On va se coucher avec le sourire.
Et entre les deux, me direz-vous ? Ce sera pour un autre jour…
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